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Geneworld.net>Ficciones>Sanmiligoku>La villa du soleil couchant

07 - LES CADRES POR SANMILIGOKU

Chapitre 07 : Les cadres

Le lendemain soir, lorsqu'elle rentra du travail, Indira décida de téléphoner à son frère. En effet, elle avait promis qu'elle le ferait et elle finissait presque sa première semaine à la villa qu'elle n'avait pas encore tenu parole. Aussi, lorsqu'elle franchit la porte d'entrée de la villa, elle décrocha le téléphone aussitôt après avoir retiré ses souliers, et elle composa le numéro de téléphone de Victor.
Après trois sonneries, Indira entendit enfin la voix de son frère.
-Allô ?
-Vic ? c'est Indi !
-Oh... ma petite soeur n'a pas oublié l'existence de son pauvre grand frère, dit Victor avec bonne humeur. Salut Indi, comment vas-tu ?
-Je vais très bien et toi ?
-Tout se passe bien à la villa ?
-Oui, bien sûr, pourquoi ? demanda Indira d'un ton un peu plus brusque qu'elle ne l'aurait voulu.
-Quelle question, "pourquoi" ! s'exclama son interlocuteur surpris. Ma petite soeur vit depuis moins d'une semaine seule pour la première fois, qui plus est, dans une grande maison. Il est normal que je lui demande si tout se passe bien.
-Oui, tout va bien, je te remercie. Christine vient me chercher le matin et me ramène le soir... tout se passe bien !
-Est-ce que tu veux venir dîner chez moi ce soir ?
-Avec plaisir ! Enfin... si cela ne te dérange pas trop.
-Puisque je te le propose ! Tu peux venir dès maintenant, si tu n'as rien de mieux à faire.
-Parfait ! Le temps de mettre ma veste et d'enfiler mes chaussures, et je saute dans ma voiture.
-Alors à tout de suite !
Indira reposa le combiné sur sa base et elle courut vers ses chaussures. Elle les enfila en une seconde, puis saisit sa veste de daim qu'elle ne prit même pas le temps de passer. Elle décrocha les clés suspendues au clou, au dessus du téléphone puis elle sortit de la villa. Elle en verrouilla la porte puis elle prit le volant de sa voiture, roulant de vive allure jusque chez Victor.
Dis minutes plus tard, elle effectuait un créneau dont elle se félicita devant l'immeuble de chez son frère. Elle se rendit à la porte du bâtiment et appuya sur la sonnette, en face du nom de son frère.
-Entre, Indi, dit simplement Victor alors que le bruit strident de l'ouverture électronique se faisait entendre.
Indira poussa la porte et monta au troisième étage. Victor avait pris soin de laisser sa porte ouverte. Indira rentra et lança gaiement :
-Le voilà !
-Bienvenue dans ma modeste demeure, dit Victor en saluant sa soeur à la manièr des Japonais, se penchant légèrement en avant, les mains jointes devant son visage.
Indira éclata de rire et imita son frère.
-Tu as l'air d'être bien gaie ! s'exclama Victor. Est-ce ton indépendance qui te fait cet effet-là ?
-Non, mais je suis heureuse de te revoir, j'ai également passé le week end avec Fred... Je suis heureuse.
-Il t'a demandé de l'épouser ?
-Oh non ! Mais nous sommes tellement bien ensemble...
Victor regarda son appartement et demanda à sa soeur :
-Ne vois-tu rien qui a changé ?
Indira observa? Le sol... La moquette était toujours la même. Les murs... Le papier peint n'avait pas changé. Le meuble... Il contenait toujours ces stupides figurines des Kinder Surprise. Elle allait abandonner lorsqu'elle vit les cadres sur les murs. Leurs parents les avaient pris en photos lorsqu'ils étaient enfants, et avaient développé les photos en triple exemplaires : un pour eux et un pour chacun de leurs enfants.
-Nous nous étions juré de les accrocher à nos murs lorsque nous aurions notre "chez nous", commenta Indira pensive.
-J'ai fouillé mon armoire ce week-end, expliqua Victor, et j'ai découvert ces photos. Je me suis dépêché d'aller acheter des cadres... et voilà ! Mais dis-moi, tu n'as pas perdu les tiennes, au moins ?
-Non, elles sont dans mon armoire... et j'irai acheter des cadres dès demain. Je tiens toujours mes promesses !
Victor sourit à sa soeur et dit :
-Ne te presse pas. J'ai mis trois ans pour tenir la mienne.
-Mais tu n'es pas une référence.
Le frère et la soeur se sourirent avec une tendresse et une complicité qui n'avaient pas terni malgré leurs trois années de séparation.

Le lendemain, en sortant du travail, Indira demanda à Christine si celle-ci avait des courses à faire.
-Oh ! répondit Christine en se glissant au volant de sa 406 étincelante de propreté. Tu as bien fait de m'y faire penser. Dans quatre jours, c'est l'anniversaire de père et je ne lui ai toujours pas acheté de cadeau... Pourquoi, as-tu besoin d'acheter quelque chose ?
-Oui. Je me suis rendue chez mon frère, hier, et...
Indira conta à son amie l'histoire des cadres et cette dernière répondit :
-Je vois... Tu sais, j'ai plein de vieux cadres dans mon grenier, qui ne servent plus. Je pourrai te les apporter demain.
Indira hésita et répondit d'un ton pincé :
-Tu sais, j'ai assez d'argent pour acheter une dizaine de cadres !
-Je m'en doute, répondit Christine bien qu'elle n'en soit pas si sûre. Ce n'est pas de la charité, mais père et mère répugnent à jeter. Cependant, ils ont tellement d'objet dont ils souhaiteraient se débarrasser, entre autre ces vieux cadres.
-Tu es sûre que ça ne les gênera pas ?
-Absolument !
-Dans ce cas, je serais heureuse que tu m'apportes ces cadres.
-Je te les apporterai tous. Ainsi, tu n'auras que l'embarras du choix. Tu verras, ils font un peu vieillots, cela s'accordera parfaitement au style authentique de la villa.
-Je ne sais comment te remercier, Christine.
-C'est à ça que ça sert, les amis : se rendre service ; pas uniquement se raconter nos week end ou échanger les derniers potins qui circulent dans les bureaux.
Indira sourit à son amie et déclara dans un soupir :
-Je suppose que tu as raison.
-Comment vas-tu te débrouiller pour ton linge ? Cela fait déjà une semaine que tu n'es plus chez tes parents.
-Hé bien... Fred dispose d'une machine à laver et d'un sèche-linge. Je lui ai laissé quelques vêtements ce week-end. En échange, je repasserai ses propres affaires en même temps que je repasserai les miennes. Je dois y aller mercredi après le travail.
Christine effectua une manoeuvre pour se garer en marche arrière dans la cour de la villa et dit :
-Très bien. Si tu as besoin de quoique ce soit, n'hésite pas.
-Je devrais m'en sortir. Je te remercie du fond du coeur, Chris.
-De rien. A demain, Indi, et bonne soirée.
Indira descendit de la voiture de sa collègue et elle rentra chez elle après avoir traversé l'allé de gravillons et déverrouillé la porte d'entrée. Elle se débarrassa de sa veste et de ses chaussures puis elle monta à l'étage, dans la salle de bains. Elle avai laissé dans une cuvette des sous-vêtements sales. Par pudeur, elle n'avait osé les confier à son petit ami, ne lui laissant que vêtements et pyjamas.
La jeune fille mit une poignée de lessive dans la cuvette et elle ouvrit le robinet d'eau chaude.
Elle aurait pu remttre cette tâche à plus tard mais elle voyait Frédéric deux jours plus tard, et si elle voulait avoir des sous-vêtements propres et secs, elle n'avait pas le choix.

Indira franchit la porte de la villa avec difficultés. Christine avait tenu sa promesse, et Indira se retrouvait avec un carton débordant de cadres de toutes formes et de plusieurs couleurs, parsemés d'une fine couche de poussière.
Indira posa le carton au milieu du salon avant d'éternuer, puis elle monta dans sa chambre chercher les photos et un chiffon. Elle redescendit au salon et s'installa assise en tailleur à même le sol. Elle sortit uns à uns les cadres du carton et les astiqua avec minutie. Elle les ouvrit ensuite et y plaça les photographies.
Ayant achevé cette tâche, il restait encore trois cadres vides. Indira décida alors de placer dans ce cadre une photo de Frédéric, dans un autre une photo d'elle et du jeune homme, et dans la dernière une photo de ses parents le jour de leur mariage.
Le plus difficile était fait, mais il restait encore à disposer tous ces cadres dans la maison. Indira monta dans sa chambre le cadre de Frédéric qu'elle posa sur sa table de chevet, près de son lit, et une photo sur laquelle Victor et elle se tenaient solennellement par la main qu'elle fixa au mûr, en face de son lit. Elle redescendit ensuite et plaça sur le manteau de la cheminée trois photos : Victor et elle se souriant avec complicité, ses parents sortant de l'église lors de leur mariage, et Frédéric et elle se regardant avec amour. Puis elle disposa le reste des photographies de manière aléatoire : deux sur le mur du salon, une en haut de la hotte électrique, trois à la salle à manger... et une sur la petite table, sur laquelle se trouvait le téléphone.
Après avoir vérifié que les cadres étaient fixés parallèlement au sol, Indira jugea sa tâche terminée. Elle posa alors le carton près de la table d'entrée et regarda l'heure : 19h50. Elle se lava les mains et prépara son dîner. Elle savait qu'elle ne rentrerait pas tôt de chez Frédéric, le lendemain, et elle devait faire le plein de sommeil si elle ne voulait pas se retrouver morte de fatigue le jeudi.
Ainsi, elle alla se promener quelques minutes le long du lac puis elle alla se coucher alors qu'il n'était que 21h00.
Indira dormait paisiblement lorsqu'elle entendit des bruits de pas. Elle se leva et vit en face d'elle une femme tout de blanc vêtue. Cette femme souriait avec malice. Qui était-elle ?
Ses yeux s'étant adaptés à l'obscurité, Indira vit que cette femme n'était autre que son propre reflet dans le miroir en pied de son armoire. Elle se rendit égalemen compte que les bruits de pas avaient cessé. Indira sortit de sa chambre, terrorisée à un point qu'elle oublié d'allumer la lumière, et elle descendit les escaliers menant au salon. Sa marche était accompagnée du bruit du grincement des escaliers, et Indira dût se maîtriser de toutes ses forces pour ne pas sursauter à chaque grincement qu'émmetait une marche sur laquelle elle posait son pied nu. Dans le noir, le bruit prenait des proportions inquétantes.
Un réverbère placé sur le trottoir en face de la villa lançait une pâle lumière à travers les fenêtres du salon, et des ombres gigantesques se promenaient sur les murs. Indira avait l'impression d'être suivie, mais en jetant un oeil derrière son épaule, elle ne vit que son ombre qui dévalait les escaliers au même rythme qu'elle.
Indira descendit la dernière marche, à bout de souffle. Son coeur battait rapidement dans sa poitrine. Elle avait peur.
Epuisée, elle s'appuya contre le mur et une lumière blafarde éclaira le salon en même temps que la jeune fille poussa un cri.
-Qui est là ? demanda-t-elle d'une voix peu assurée. Qui êtes-vous et... qu'est-ce que je vous ai fait ?
Puis elle se laissa tomber, assise sur la dernière marche d'escalier, en s'écriant avec désespoir :
-Je ne veux pas mourir !!!
Elle resta un long moment assise sur cette marche, sanglotant, la tête entre les mains, lorsqu'elle vit qu'il y avait un interrupteur sur le mur, là où elle avait appuyé son dos. Forte de cette considération, elle se releva, mais vit de la suie devant la cheminée. Elle s'approcha et vit que le cadre contenant la photo de ses parents avait été couchée, la face vers le bas. Balayant les murs du regard, elle vit que tous les cadres étaient de travers.
-Mon Dieu, murmura Indira en portant une main à sa gorge.
Elle éteignit la lumière du salon et remonta les escaliers le plus vite possible. Elle entra dans sa chambre et alluma.
Les cadres n'avaient pas été déplacés. Ce qui signifiait que "La Chose" n'était pas entrée dans sa chambre.
Indira ignorait encore ce qu'était cette chose, mais elle était bien décidée à le découvrir. Un fantôme ? Un esprit ? Ou un simple petit farceur ? Indira l'ignorait, mais même si elle ne faisait pas partie de l'équipe des Ghostbusters avec Bouffe-Tout, ni de Myster and Company avec Scoobi Doo, elle saurait !
Forte de cette résolution, elle éteignit la lumière de sa chambre et se coucha, sans même entendre les bruits de pas qui s'approchaient.

Lorsqu'Indira rentra chez elle, un sac plastique rempli de vêtements propres et repassés à la main, elle remarqua deux choses : pendant qu'elle était chez Frédéric, les cadres avaient été remis droits, elle-même n'ayant pas osé y toucher ; et la personne ou la "chose" qui avait fait cela avait pris moins de précautions que la veille puisque des traces de pas -de la suie, vraisemblablement, partaient de la cheminée, allaient d'un cadre à l'autre et s'en retournaient à la cheminée.
Cette chose n'avait pas décroché le téléphone ni changé la place des aimants, ni même tenté de l'effrayer -de lui parler ? lorsqu'elle rentrait de chez Frédéric, au volant de sa Super 5.
Indira décida que cette chose ne devait pas être bien méchante, car elle ne lui avait jamai rien fait à part signaler sa présente. Alors la prochaine fois qu'elle essaierait de prendre contact avec elle, elle n'aurait plus peur et elle lui parlerait. Enfin... elle essaierait...
Ce qu'Indira ignorait encore, c'est qu'il y avait deux "choses"...

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Encore un chapitre de tapé ! J'espère que ça ne vous saoule pas trop... Pour ceux que ça intéresse, rendez-vous dans le prochain chapitre qui s'intitule "Contact avec la chose"...

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