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Geneworld.net>Fan-fictions>Sanmiligoku>La villa du soleil couchant

03 - VISITE DE LA VILLA PAR SANMILIGOKU

Chapitre 03 : Visite de la Villa

Indira se rendit au travail à bord de sa Super 5.
-Tiens, Indi ! dit Christine dès qu'elle arriva vers la machine à café où Indira se servait un Cappuccino. Bonjour.
-Bonjour, répondit Indira en fixant sa collègue. Comment vas-tu ?
-Ca va mais toi... tes yeux sont cernés. Tu étais chez ton petit ami cette nuit encore ? C'est pour cela que tu m'as téléphoné pour que je ne passe pas te chercher chez toi ?
-Non, mais...
Indira se demandait si elle pouvait avouer la vérité à sa collègue. Elle décida qu'elle pouvait au moins en dire une partie.
-J'ai décidé de partir de chez mes parents. Alors mon frère m'héberge jusqu'à ce que je trouve un endroit où habiter.
-Ca ne te plaît pas de vivre chez tes parents ?
-Non, j'ai besoin d'indépendance et de liberté.
-En ce qui me concerne, il ne me viendrait pas à l'idée de quitter le foyer que m'ont offert père et mère.
La voix haut perchée et les manières de Christine commençaient vraiment à ennuyer Indira. Aussi, elle tourna les talons et lança par dessus son épaule :
-Tu m'excuseras mais j'ai du courrier à taper et des dossiers à classer.
-Très bien. Alors à tout à l'heure.
Indira se rendit dans son bureau et exécuta machinalement son travail tout en ayant l'esprit ailleurs. A 17h, elle put enfin souffler pour la journée. Elle prit le volant de sa voiture et retourna chez son frère. Le jeune homme était déjà rentré du travail et feuilletait les journaux d'annonces.
"C'est le moment où jamais de trouver quelque chose, se dit-elle, car les prochaines annonces n'arriveront ensuite que la semaine prochaine."
-Tu as trouvé quelque chose d'intéressant ? demanda-t-elle d'une voix joviale pour cacher son angoisse.
-Regarde toi-même, mais à mon avis, il y a une affaire à ne pas manquer et il va falloir te dépêcher si tu ne veux pas qu'elle te passe sous le nez.
Indira regarda le journal que lui tendait son frère et remarqua une annonce que son frère avait encadrée d'un trait de stylo fluorescent.
-Quoi ! s'exclama-t-elle après avoir lu le contenu du cadre jaune. Une villa au bord du lac à vendre 8000F ? Il faut vite que j'appelle !
Puis elle se ressaisit :
-Je n'aurai jamais les moyens de verser 8000F sachant qu'il faut encore que je m'achète le mobilier et...
-Je te prête 6000F. Tu me rembourseras comme tu pourras.
-Mais je ne peux...
Victor se leva, saisit le téléphone sans fil et il le tendit à sa soeur.
-Si tu n'appelles pas, c'est moi qui le ferai. Cette affaire est en or.
Indira saisit à contre coeur le téléphone et elle composa le numéro.
-Allô ? fit une voix aigre et croassante.
Victor vit sa soeur devenir livide et couper la communication dans un état second.
-Indi ? demanda-t-il. Que se passe-t-il ?
-Rien, je... cette femme avait une voix si étrange...
Victor prit le téléphone des mains de sa soeur et appuya sur la touche "bis" puis il patienta.
-Allô ?
-Bonjour madame, répondit Victor en trouvant la voix tout à fait charmante. Je vous appelle au sujet de l'annonce, à propos de la villa.
-Oh, vous appelez pour la villa ! Vous souhaitez la visiter ?
-Oui, en effet. Ma petite soeur cherche à se loger et cette affaire paraît bonne. Quand pouvons-nous nous rencontrer ?
-Dans une demi-heure à la villa ?
-C'est parfait madame. Je vous remercie et à tout à l'heure.
Il raccrocha et toisa sa soeur du regard. Mais lorsqu'il se rendit compte de son malaise, il demanda :
-Indi, que se passe-t-il ?
-Tu... tu lui as dit... "A tout à l'heure" ? Cela signifie que tu vas visiter la villa ?
-Cela ne signifie pas uniquement que "je vais" la visiter. Cela signifie exactement que "nous y allons".
-Mais la femme avait une voix...
-Depuis quand juges-tu les gens à leur voix ? De plus, j'ai trouvé la voix de cette jeune femme très jolie. Allez, enfile ta veste et tes chaussures, nous devons être à la villa dans une demi-heure.
-Je n'irai pas !
-Indira ! s'exclama Victor avec impatience.
-Je t'aurai prévenu, répondit Indira mais sa voix ne fut qu'un murmure.
A contre coeur, elle passa sa veste, enfila ses chaussures et elle suivit son frère dehors. Tous deux montèrent dans la 309 du jeune homme et il conduisit jusqu'au bord du lac surplombé par la villa.
-Comme elle est belle... murmura Victor.
-Vic ? hasarda Indira.
-Oui ?
-Promets-moi que dès que quelque chose d'anormal se passe, nous partons.
Victor parut surpris par les propos de sa soeur, puis il se dit que c'était tout à fait normal qu'elle soit angoissée : elle allait bientôt vivre seule pour la première fois.
-Promis, dit-il avec indulgence, tout en sachant que rien de spécial ne se produirait.
Une jeune femme fraîche et rousse alla leur ouvrir la porte avant même qu'ils ne sonnent.
-Bonjour, messieurs-dame, dit-elle de la voix qui avait tant plu à Victor.
-Je me présente, je suis Victor et voisi ma jeune soeur Indira, dit le jeune homme.
-C'est donc vous qui souhaitez vous loger, dit la propriétaire à Indira.
-Euh... oui, répondit timidement la jeune fille.
-Dans ce cas, pourquoi n'avez-vous pas appelé vous-même ?
Indira ne sut que répondre, et Victor vola à son secours.
-C'est peut-être stupide mais jusqu'à présent, toutes les fois où ma soeur a téléphoné, l'occasion était passée. Elle s'est alors dit qu'elle avait la poisse et qu'elle aurait plus de chance si j'appelais.
-Je vois, dit la propriétaire de la villa en souriant. Suivez-moi, je vais vous faire visiter.
Elle rentra dans la villa, suivie de Victor et d'Indira qui, après avoir hésité, se dit qu'il valait sans doute mieux être à l'intérieur accompagnée de son frère que sur le perron, mais seule.
-Voici le salon-hall d'entrée, dit la propriétaire. Comme vous pouvez le constater, il est assez spacieux et possède une authentique cheminée au feu de bois, même si la villa possède le chauffage central. La tapisserie a été entièrement refaite et survivra une bonne dizaine d'année. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, la maison n'est pas humide.
Malgré elle, Indira ne put s'empêcher d'admirer le vaste salon éclairé par deux immenses fenêtres de part et d'autre de la porte. Le parquet qui recouvrait le sol donnait un air chaleureux et convivial.
-Passons à la cuisine, dit la propriétaire en se dirigeant vers une pièce à droite de l'entrée. Elle est très pratique avec ses meubles encastrés, ce qui donne une petite touche de modernité à cette rustique villa, avec la hotte électrique, le lave vaisselle, le gaz, le four, l'évier...
-C'est parfait ! ne put s'empêcher de s'exclamer Indira en admirant les meubles bruns assortis au matériel tel que le four, le réfrigérateur, le four à micro-ondes...
-Je suis heureuse que ça vous plaise, dit la jeune propriétaire.
Elle emmena ensuite ses visiteurs dans l'immense salle à manger dont le sol recouvert de parquet donnait un air convivial à la pièce très vaste. Les murs étaient recouverts d'un papier blanc à fines dorures.
Il passèrent à la salle de bains, bleue munie d'un équipement de la même couleur : toilettes bleues, lavabo bleu, baignoire bleue...
La propriétaire guida les visiteurs à l'étage par un large escalier de bois.
-Trois chambres se trouvent à l'étage, expliqua-t-elle. Il y a également une petite salle de bains.
Les chambres étaient de taille moyenne, recouvertes de papier mauve pour une, orangé pour une autre et bleu pour la troisième. Quant à la salle de bains, elle était blanche, munie d'une douche et de toilettes, et les murs étaient recouverts d'une mozaïque de carrelage vert et blanc.
La propriétaire guida ensuite ses visiteurs au rez-de-chaussée. Ils traversèrent l'immense salle à manger et elle ouvrit les portes-fenêtres.
-La salle à manger donne sur une terrass que vous pourrez égayer avec des fleurs.
Indira constata que la terrasse offrait une vue sur le lac. Comme si la propriétaire avait lu dans ses pensées, elle ajouta :
-La terrasse donne sur le lac. L'été, vous pourrez même adminer le soleil se coucher sur son eau bleue, qui deviendra alors rose-orangée, d'où le nom de la villa : la Villa du Soleil Couchant.
-C'est merveilleux, murmura Indira.
Puis un détail vint la choquer.
-Dans cette villa, tout est fabuleux. Alors je ne comprends pas pourquoi vous la vendez à un prix aussi bas.
La propriétaire sourit et prit le temps de répondre :
-Voyez-vous, mademoiselle, j'ai 30 ans. Je suis mariée depuis 4 ans mais avant, tout n'a pas été facile pour moi. J'ai eu du mal à trouver où me loger. J'ai hérité de cette villa par ma tante décédée et comme je n'en ai aucune utilité, j'ai envie d'aider les jeunes gens pour qu'ils n'aient pas à traverser les mêmes problèmes que moi.
Victor regarda sa soeur et il lui demanda :
-Alors, tu la prends ou pas ?
-Je... oui !
Quelques minutes plus tard, les papiers furent signés et Victor avait rédigé le chèque de 8000F qu'il tendit à la propriétaire. Indira allait protester mais Victor lui sourit et dit d'un ton autoritaire :
-Tu me rembourseras quand tu le pourras. Tu as encore des meubles à acheter.
Après une poignée de main à l'ancienne propriétaire de la villa, Victor et Indira prirent congé et rentrèrent chez le jeune homme.

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